Les 16, 17 et 18 octobre 2020, le French Speedway d’Albi accueillait le Championnat de France FFSA GT dans le cadre de son 76ème Grand-Prix.
Retour en images sur cette épreuve avec quelques photos de Bernard Rieu et Jacques René Fabre.
Absent du calendrier du Championnat de France FFSA GT depuis 2012, le Circuit d’Albi fait son retour au programme du 16 au 18 octobre. Nouveauté pour la plupart des concurrents, le tracé du Tarn pourrait réserver bien des surprises avant la finale de la saison, programmée à Lédenon du 6 au 8 novembre.
Initialement pas prévu au programme, le Circuit d’Albi profite de cette année 2020 atypique pour faire un retour très remarqué dans le Championnat de France FFSA GT. Pour la première fois depuis 2011, la compétition phare de l’Hexagone fera donc de nouveau partie du Grand Prix d’Albi, dont ce sera la 76e édition.
Tracé autour de l’aérodrome d’Albi, ce circuit sera donc une nouveauté pour une grande partie des concurrents du Championnat de France FFSA GT et une grande première pour la catégorie GT4. Et si certaines équipes locales connaissent les lieux en tant que piste d’essais, on sait que la course réserve toujours son lot de surprises…
Une trentaine de GT4 sont attendues pour affronter les 3,565 km de ce circuit qui ne devrait pas manquer de proposer deux courses spectaculaires. Et sachant qu’il n’y aura plus que la finale de Lédenon – du 6 au 8 novembre – après ce déplacement dans le Tarn, on comprend que l’intérêt sportif pourrait atteindre un climax ces 17 et 18 octobre.
Le dernier rendez-vous en date, début octobre sur le Circuit Paul Ricard, a été particulièrement riche en rebondissements. Profitant des ennuis techniques ayant frappé la BMW M4 GT4 de L’Espace Bienvenue, Edouard Cauhaupé et Fabien Lavergne (Mercedes-AMG GT4 #2) sont revenus dans le sillage de Ricardo van der Ende et Benjamin Lessennes dans le classement général. Onze points seulement séparent ces deux duos. Sachant qu’Albi sera une course « à domicile » pour l’équipe CD Sport, les positions pourraient encore se resserrer avant la finale de Lédenon.
Au troisième rang du général, Grégory Guilvert et Fabien Michal sont loin d’avoir dit leur dernier mot ! Toujours à la poursuite d’une première victoire au « scratch » cette année, les pilotes de l’Audi R8 LMS GT4 #42 du Saintéloc Racing n’ont que 20 points de retard sur les leaders.
Avec 100 unités encore à attribuer, douze équipages peuvent encore revendiquer la couronne sur le plan mathématique. De manière plus réaliste, six duos sont groupés en 50 points avec Nicolas Gomar-Mike Parisy (Aston Martin Vantage GT4 #89 – AGS Events) à 39 longueurs des hommes de tête, Thomas Drouet-Paul Petit (Mercedes-AMG GT4 #88 – AKKA ASP) à 41 points et Rodolphe Wallgren-Vincent Beltoise (Alpine A110 GT4 #222 – Mirage Racing) à 50 unités.
A noter que Pascal Huteau et Christophe Hamon (Audi R8 LMS GT4 #5 – Team Fullmotorsport), les mieux classés des pilotes de la Am Cup dans ce classement général, occupent une très belle 15e place absolue après être rentrés deux fois dans le Top 10 du général.
Avec une attribution ne tenant compte que des concurrents engagés dans la catégorie, la Silver Cup propose sa propre hiérarchie. Fort de leurs bons week-ends à Magny-Cours et au Castellet, Edouard Cauhaupé et Fabien Lavergne pointent en tête dans cette course dans la course. Les pilotes de la Mercedes-AMG GT4 #2 de CD Sport devancent Benjamin Lessennes et Ricardo van der Ende. Le duo belgo-néerlandais de L’Espace Bienvenue ne compte que 11 points de retard… et il a soif de revanche après avoir été trahi par la mécanique de sa BMW M4 GT4 sur le Circuit Paul Ricard. Troisièmes de cette Silver Cup, Thomas Drouet et Paul Petit (Mercedes-AMG #88 – AKKA ASP) ne sont qu’à 20 longueurs.
Avec respectivement 39 et 48 points de retard, Robert Consani-Benjamin Lariche (Alpine A110 GT4 #8 – Speed Car) et Julien Piguet-Aurélien Panis (Toyota GR Supra GT4 #30 – Toyota Gazoo Racing France by CMR) viseront probablement plus les coups d’éclat que le championnat en cette fin de saison.
Constituant la quatrième des cinq épreuves du championnat, Albi marquera l’entrée dans la dernière ligne droite pour les candidats au titre. Actuellement troisièmes du « scratch », Grégory Guilvert et Fabien Michal (Audi R8 LMS GT4 #42-Saintéloc Racing) sont surtout largement leaders du classement Pro-Am. S’ils parviennent à frapper fort dans le Tarn, les doubles Champions de France pourraient déjà sceller leur troisième couronne dans la catégorie. Il leur faudrait alors porter leur avantage à plus de 50 points face à Nicolas Gomar et Mike Parisy (Aston Martin Vantage GT4 #89 – AGS Events), qui comptent actuellement 37 unités de retard.
Troisièmes de la catégorie à 54 points de la tête, Rodolphe Wallgren et Vincent Beltoise (Alpine A110 GT4 #222 – Mirage Racing) espèrent pouvoir ajouter à leur pointe de vitesse une régularité qui leur a parfois manqué en ce début d’année. La remarque vaut aussi pour Christopher Campbell-Nicolas Prost (Alpine A110 GT4 #36 – CMR) et Jean-Luc Beaubelique-Jim Pla (Mercedes-AMG GT4 – AKKA ASP), les deux duos qui complètent le Top 5 provisoire.
Trois équipages sont toujours en lice pour le titre de Champion de France en Am Cup. L’abandon de Pascal Huteau et Christophe Hamon lors de la dernière course sur le Circuit Paul Ricard n’empêche pas les pilotes de l’Audi R8 LMS GT4 #5 du Team Fullmotorsport d’aborder cette dernière ligne droite en tête du championnat. Mais l’écart est évidemment beaucoup moins conséquent que ce qu’il n’aurait pu être. Après avoir alterné les hauts et les bas ces dernières semaines, Sylvain Caroff et Erwan Bastard (Ginetta G55 GT4 #72 – ANS Motorsport) n’ont que 15 longueurs de retard. Un troisième équipage, représentant un troisième constructeur, est encore pleinement dans la course : Wilfried Cazalbon et le benjamin du peloton César Gazeau (16 ans) ne sont qu’à 22 points des leaders sur la Toyota GR Supra GT4 de la formation CMR.
Mieux ! Avec les paires Laurent Coubard-Jean-Charles Rédélé (Alpine A110 GT4 #76 – Bodemer Auto) et Christophe Carrière-Didier Dumaine (Aston Martin Vantage GT4 #161 – AGS Events), deux autres marques ont encore leur mot à dire pour le podium final.
À Albi, deux concurrents concourront dans la classe Invité. On y retrouvera ainsi l’équipage de l’Alpine #22 du Mirage Racing. En l’absence de Philippe Giauque, le Champion de France FFSA GT 2013 Morgan Moullin-Traffort recevra en effet le renfort du jeune Matéo Herrero (18 ans), vu en Formule 4 FFSA en 2018 et actif dans l’Alpine Elf Europa Cup depuis deux saisons. Par ailleurs, Ruben Del Sarte étant exceptionnellement seul ce week-end, le Néerlandais – classé Silver – évoluera lui aussi dans cette classe invité sur la Ginetta G55 GT4 #23 d’ABM Grand Prix.
Après avoir vécu un week-end bien chargé au Castellet avec trois courses durant le week-end, les concurrents du Championnat de France FFSA GT vont retrouver à Albi un horaire plus traditionnel avec des essais libres vendredi (13h40-14h40 puis 17h45-18h45) puis deux séances d’essais qualificatifs samedi matin entre 9h30 et 10h20. La première course de 60 minutes débutera samedi à 14h30. Dimanche, c’est à 14h05 que sera donné le départ de la seconde course dans le Tarn. Qui abordera en tête la finale de Lédenon ? Pour le savoir, vous pourrez bien évidemment suivre les courses en direct samedi et dimanche sur la chaîne YouTube GT World.
Communiqué Pôle Presse FFSA / Photo SRO Patrick Hecq
Les 12 et 13 septembre derniers, deux épreuves automobiles importantes se déroulaient en Occitanie Pyrénées. La troisième manche du championnat de France de Drift 2020 à Calmont et la quatrième manche du championnat de France Historique sur le circuit de Nogaro, dans le cadre de son 60ème Grand-Prix Historique.
Bernard Rieu nous propose un retour en images sur ces deux épreuves.
Auteur d’un très beau rallye pour sa première en R5 sur la terre française, le Belge Grégoire Munster a réussi l’exploit de devancer deux pilotes habitués du ‘CFRT’, Jean-Baptiste Franceschi et Thibault Durbec. La course pour le titre se resserre et le final du Championnat qui aura finalement lieu dans le Vaucluse promet d’être passionnant !
Leader du rallye depuis l’ES4 disputée hier, Grégoire Munster est parvenu à conserver les commandes de l’épreuve pour s’offrir un beau succès. Gérant parfaitement sa course, Munster précède finalement Jean-Baptiste Franceschi qui est parvenu à récupérer la deuxième place malgré une journée contrastée (meilleur temps dans l’ES7, flexible de frein cassé dans l’ES10 et pointage deux minutes en retard dans la foulée de la réparation). Cette médaille d’argent est synonyme de gros points dans l’optique du Championnat alors qu’une course reste à disputer. Ralenti par des coupures moteur dès la première spéciale du jour alors qu’il occupait le deuxième rang, Thibault Durbec se console avec la troisième position et l’espoir de disputer le titre en fin de saison. Plus à l’aise sur les spéciales de cette deuxième étape, Nasser Al Attiyah termine finalement au pied du podium en devançant Jean-Marc Manzagol. Le top huit est complété par Thomas Baudoin, Alexander Villanueva et Marc Amourette. Du côté du Championnat Deux Roues Motrices, Mathieu Franceschi réalise le doublé en s’imposant devant Jean-Sébastien Vigion et Fabrizio Zaldivar. Trois semaines après sa victoire en Lozère, il récidive à Bretenoux et s’impose comme le favori pour le titre. Le prochain et dernier rallye du Championnat de France des Rallyes Terre 2020 se déroulera les 13, 14 et 15 novembre au Rallye Terre de Vaucluse, l’Écurie Millau Condatomag, organisateur technique du Rallye Terre des Cardabelles ayant communiqué hier : « Suite à l’aggravation de la situation sanitaire du département de l’Aveyron, classé en zone rouge, le Comité d’Organisation, conscient de ses responsabilités, a décidé à l’unanimité, d’annuler le Rallye Terre des Cardabelles 2020. »
Grégoire Munster (Hyundai i20 R5), vainqueur : « C’était ma première fois au volant d’une R5 sur le Championnat Terre et au final on l’emporte, c’est super. Nous avons géré quand il le fallait. Ce Championnat est une super école avec un passage de reconnaissance. On sera peut-être là au Vaucluse. »
Jean-Baptiste Franceschi (Citroën C3 R5), deuxième : « Nous avons pu conserver cette deuxième place donc c’est super. Je veux remercier toute mon équipe et on se donne rendez-vous au Vaucluse car le Rallye des Cardabelles est annulé. »Thibault Durbec (Volkswagen Polo R5), troisième : « Nous avons eu plein de petits soucis tout au long de la course. Nous voulions voir comment on se situait face à des références du rallye mondial et on voit qu’on s’en approche et même qu’on peut faire jeu égal par moments. On ramène un autre podium, c’est satisfaisant. »
12 épreuves spéciales (dont une annulée, l’ES6)
Meilleurs temps : Munster 6, Franceschi 3, Al Attiyah 1, Durbec 1.
Leaders : ES1 : Munster, ES2 : Franceschi, ES3 : Durbec, ES4 à ES12 : Munster
Classement final provisoire
1.Munster/Louka (Hyundai i20 R5) en 1h22m24s1
2.Franceschi/Haut-Labourdette (Citroën C3 R5) + 1m07s0
3.Durbec/Renucci (Volkswagen Polo R5) + 1m59s1
4.Al Attiyah/Baumel (Volkswagen Polo R5) + 2m40s7
5.Manzagol/Chiappe (Hyundai i20 R5) + 3m01s9
6.Baudoin/Galmiche (Citroën C3 R5) + 3m09s4
7.Villanueva/Amigo (Skoda Fabia R5) + 4m45s8
8.Amourette/Gauduin (Citroën C3 R5) + 4m46s5
9.Gascou/De Turckeim (Peugeot 207 S2000) + 5m52s9
10.Pradayrol/Rodrigue (DS 3 R5) + 6m41s7…
LES PODIUMS PROVISOIRES
CHAMPIONNAT DE FRANCE DEUX ROUES MOTRICES :1. Franceschi/Manzo (Peugeot 208 Rally 4) en 1h29m44s3
2. Vigion/Sarreaud (Renault Clio Rally) + 2m38s0
3. Zaldivar/Mussano (Ford Fiesta Rally4) + 2m51s2…
PRINCIPAUX ABANDONSBrice Tirabassi (Ford Fiesta R5 MKII) sortie de route sans gravité dans ES1, Loïc Astier (Hyundai i20 R5) mécanique après ES2, Cyrille Feraud (Citroën C4 WRC) mécanique avant étape 2, Jean-Marc Falco (Mitsubishi Lancer Evo9) mécanique avant étape 2.
CLASSEMENTS CHAMPIONNATS Tous les classements sont à retrouver sur www.ffsa.org
Communiqué Pôle Presse FFSA / @FR MEDIA LIVE
Communiqué du Samedi 19 septembre
Le pilote belge rentre en tête à Bretenoux au terme d’une première étape marquée par de nombreuses crevaisons. Munster devance finalement Thibault Durbec et Jean-Baptiste Franceschi mais les trois hommes se tiennent en moins de trente secondes, ce qui laisse présager une belle lutte pour la victoire demain.
Raccourcie (annulation d’une spéciale) en raison d’un retard trop important concédé dans la matinée, cette première étape du 20ème Rallye Castine Terre d’Occitanie n’en a pas moins révélé son lot de surprises. Dès l’ES1, Grégoire Munster prend les commandes de l’épreuve et montre qu’il est un candidat crédible à la victoire pendant que Nasser Al Attiyah effectue un tout droit et laisse déjà échapper de précieuses secondes. Jean-Baptiste Franceschi réplique dans le ‘chrono’ suivant pendant que Munster crève ce qui lui permet de s’emparer à son tour de la tête du rallye. Cet avantage sera de courte durée puisque le pilote de la Citroën C3 R5 est à son tour victime d’une crevaison dans l’ES3. C’est alors Thibault Durbec qui devient ‘leader’, lui qui est passé à travers les embuches lors de la première boucle. Dans l’après-midi, Grégoire Munster s’offre un troisième meilleur temps dans l’ES4 et c’est au tour de Thibault Durbec de subir une crevaison. Enfin, dans la dernière spéciale du jour, Jean-Baptiste Franceschi s’impose mais cela ne suffit pas à déloger Grégoire Munster de la première place. Demain, la victoire devrait se jouer entre ses trois animateurs qui se sont montrés au dessus du lot sur cette étape. La belle surprise du jour se nomme Jean-Marc Manzagol qui s’offre une belle quatrième place provisoire alors qu’il étrenne sa Hyundai i20 R5. Il devance Nasser Al Attiyah qui a connu une journée difficile alors qu’il découvrait les spéciales lotoises. Le top huit est complété par Thomas Baudoin, Alexander Villanueva et Marc Amourette. Les grands perdants du jour se nomment Brice Tirabassi et Loïc Astier qui ont été contraints à l’abandon en début de rallye suite à une sortie de route sans gravité pour le premier cité et un problème mécanique pour l’ancien Champion de France des Rallyes Junior. Dans le cadre du Championnat Deux Roues Motrices, Mathieu Franceschi s’est montré intraitable et précède de plus d’une minute son plus proche poursuivant, Jean-Sébastien Vigion qui réalise un joli retour au sein du Championnat de France des Rallyes Terre.
Grégoire Munster (Hyundai i20 R5), leader : « Je suis très content de ma première journée. J’ai lâché du temps dans la dernière spéciale du jour car j’avais crevé dans celle-ci ce matin et je ne voulais pas prendre de risque. »Thibault Durbec (Volkswagen Polo R5), deuxième : « Sans ma crevaison ça aurait été une très bonne journée. Je laisse beaucoup de temps dans la dernière spéciale en étant gêné par la poussière donc je suis un peu frustré. J’espère être dans le match demain pour jouer la victoire. »
Jean-Baptiste Franceschi (Citroën C3 R5), troisième : « J’ai découvert ce qu’était le balayage aujourd’hui ! La crevaison me coûte cher. Dans la dernière spéciale du jour j’ai vraiment pu rouler dans les traces et c‘était plaisant donc je suis optimiste pour demain. »
6 épreuves spéciales (dont une annulée)
Meilleurs temps : Munster 3, Franceschi 2.
Leaders : ES1 : Munster, ES2 : Franceschi, ES3 : Durbec, ES4 à ES5 : Munster.
Classement provisoire 1.Munster/Louka (Hyundai i20 R5) en 46m08s1
2.Durbec/Renucci (Volkswagen Polo R5) + 17s!
3.Franceschi/Haut-Labourdette (Citroën C3 R5) + 29s7
4.Manzagol/Chiappe (Hyundai i20 R5) + 1m28s1
5.Al Attiyah/Baumel (Volkswagen Polo R5) + 1m54s8
6.Baudoin/Galmiche (Citroën C3 R5) + 1m59s1
7.Villanueva/Amigo (Skoda Fabia R5) + 2m07s0
8.Amourette/Gauduin (Citroën C3 R5) + 2m11s0
9.Gascou/De Turckeim (Peugeot 207 S2000) + 2m49s9
10.Franceschi/Manzo (Peugeot 208 Rally4) + 3m17s2…
LES PODIUMS PROVISOIRES
CHAMPIONNAT DE FRANCE DEUX ROUES MOTRICES :1. Franceschi/Manzo (Peugeot 208 Rally 4) en 49m25s3
2. Vigion/Sarreaud (Renault Clio Rally) + 1m25s1
3. Zaldivar/Mussano (Ford Fiesta Rally4) + 1m54s1…
PRINCIPAUX ABANDONSBrice Tirabassi (Ford Fiesta R5 MKII) sortie de route sans gravité dans ES1, Loïc Astier (Hyundai i20 R5) mécanique après ES2.
Communiqué Pôle Presse FFSA / @FR MEDIA LIVE
L’Historic Tour de Nogaro a livré de nouveaux enseignements dans la course au titre de champion de France. Franck Quagliozzi et Laurent Sabatier y ont conforté leur statut de leader en GT/Tourisme, alors que Frédéric Rouvier s’est emparé du pouvoir en Monoplaces/Protos aux dépens de Christian Vaglio-Giors.
Encore invaincus dans le Gers sur leurs plateaux respectifs, la Yougtimers GTI Cup et le GT Classic, Franck Quagliozzi et Laurent Sabatier continuent de dominer la catégorie GT/Tourisme avec un score idéal de 320 points, soit l’équivalent de huit victoires en autant de départs ! Le premier a poursuivi sa moisson de points au volant de son habituelle Honda Civic Groupe A, alors que le second, trahi par le moteur de sa Porsche 993 GT2 dès les essais, a eu recours à une auto de prêt (une BMW M3 GTR) pour réaliser un nouveau doublé. Du côté des monoplaces et protos, plus aucun pilote n’est crédité d’un tel score. Double vainqueur de la F3 Classic à Nogaro, Frédéric Rouvier est désormais celui qui s’en sort le mieux en comptabilisant sept victoires en huit courses. L’ex leader Christian Vaglio-Giors (Martini MK51) ayant parallèlement chuté à deux reprises en Formule Renault Classic, le champion de France en titre à la March 783 reprend les rênes du classement devant François Belle (Lola T540E), auteur d’un sans-faute le week-end dernier en Formula Ford Historic. Le titre devrait se jouer entre eux trois au Val de Vienne.
Top 10 Championnat de France Monoplaces/Protos : 1.Rouvier (March 783/F3C) 315 pts, 2ex.Vaglio-Giors (Martini MK51/FRC) et Belle (Lola T540/FFH) 310 pts, 4.Dousse (Van Diemen RF02Z/FFZ) 300 pts, 5ex.Leone (March 783/F3C) et Horion (Van Diemen RF92/FFK) 280 pts, 7. Genecand (Crosslé 25F/FFH) 261 pts, 8.Sanjuan (Tatuus/FFZ) 244 pts, 9.Majou (Martini MK44/FRC) 227 pts, 10.De Murard (Merlin MP46/SPC)… (98 classés).
Top 10 Championnat de France GT/Tourisme : 1ex.Quagliozzi (Honda Civic/YC) et Sabatier (Porsche GT2/GTC) 320 pts, 3.Bellinato (Mazda MX-5/RPC) 300 pts, 4.J.Beltramelli (TVR 400/A65) 292 pts, 5.Jacquet (Lotus Seven/TL) 281, 6.Fl.Cabarrou (Mazda MX-5/RPC) 276 pts, 7ex.Mathieu (BMW M3 GTR/GTC) et Derognat (BMW 323i/SC) 261 pts, 9.Grenet (Viper/SC) 256 pts, 10.Vivas (Citroën AX/YC) 255 pts, … (200 classés). *Classement sous réserve du résultat des vérifications techniques en cours sur le plateau Maxi 1300 Series.
LA SUITE
La manche # 5/5 : Historic Tour du Val de Vienne, du 25 au 27 septembre.
Communiqué Pôle Presse FFSA / Photo G. Pawlak
Moins de trois semaines après le premier rallye du Championnat en Lozère, les acteurs du ‘CFRT’ se retrouvent dans le Lot à l’occasion du 20ème Rallye Castine Terre d’Occitanie. Comme à Mende, la victoire devrait se jouer entre les 19 ‘R5’ attendues au départ même si la bataille va faire rage dans toutes les catégories et en particulier en Championnat Deux Roues Motrices ainsi que du côté des VHC qui vont s’affronter dans le cadre du Trophée Fédéral VHC Terre Art et Création / Rétro Assurances. Cette deuxième épreuve de la saison est marquée par la présence de Nasser Al Attiyah. Le triple vainqueur du Dakar et Champion du Monde WRC2 2014 fait figure de favori au volant de sa Volkswagen Polo R5.
L’épreuve de « Touge » à Calmont, troisième manche du Championnat de France de Drift a rencontré un franc succès. Sur ce magnifique tracé à flanc de montagne, les pilotes s’en sont donnés à cœur pour offrir un spectacle somptueux aux très nombreux spectateurs massés le long de la route.
Après une première prise de température sur cette piste exceptionnelle lors des essais organisés samedi, les choses sérieuses commencent véritablement dimanche matin. Les spectateurs sont déjà au rendez-vous pour suivre les qualifications puisque toutes les places disponibles étaient vendues à 11h. Portés par l’engouement des spectateurs, les pilotes font preuve d’une grand maitrise. Le niveau est très relevé et c’est Jason Banet qui parvient à obtenir le plus de point grâce à un excellent deuxième run, juste devant Benjamin Boulbes qui avait dominé les qualifs à Croix-en-Ternois. Nicolas Dufour, Axel François et Yvon Buisson suivaient au classement de ces qualifications. Mathias Locatelli, invité sur cette manche, est l’auteur d’une belle performance en se classant 7e. Belle performance également de Michael Perrottet 10e alors qu’il dispute sa première épreuve de Touge.
C’est sous un soleil de plomb que le premier duel du Top 32 se déroule sous les yeux émerveillés des passionnés. Le leader des qualifications, Jason Banet remporte la première battle face à Kévin Gratecap mais s’incline dans la suivante face à Anthony Rocci. Sans surprise on retrouve Axel François et Nicolas Dufour sans oublier Benjamin Boulbes et Kévin Jozou dans le dernier quart. Le parcours des ces pilotes n’éclipse pas celui de Michael Perrottet qui atteint le top 8 pour sa toute première épreuve de Touge.
En demi-finales, Axel François s’impose face à Kévin Jozou et retrouvera en finale Nicolas Dufour, qui s’est défait d’Antoine Amar. C’est le moment tant attendu par tout le public, le duel au sommet entre Axel François et Nicolas Dufour. Dans son premier run, Axel fait forte impression en se montrant très agressif sur Nicolas qui maintient la corde. Axel fait ensuite la différence dans le second run où il creuse l’écart sur Nicolas et s’attire ainsi les faveurs du jury qui lui décerne la victoire ; sa deuxième de la saison. Un problème mécanique prive Kévin Jozou du duel qui l’oppose à Benjamin Boulbes dans la petite finale. Ce dernier décroche la 3e place suite au forfait de Kévin Jozou.
Ce week-end à Calmont, le championnat de France avait des couleurs internationales avec notamment la venue de Engin Doruk et sa magnifique Chevrolet Camaro, ou encore l’italien Giovanni Dalla Pozza, habitué de la compétition.
Après trois manches, une hiérarchie au championnat se dessine. La régularité de Benjamin Boulbes paye en ce début de saison puisqu’il occupe les commandes avec 605 points, soit moins de 20 longueurs d’avance sur Axel François. Kévin Jozou complète le top 3 en totalisant 537 points.
« C’est un vrai plaisir de pouvoir dire que cette troisième épreuve à Calmont a été un vrai succès. Les performances des pilotes n’ont pas cessé d’impressionner le public et les organisateurs présents sur place. C’est aussi un plaisir de voir l’engouement populaire pour cette discipline ‘spectacle’ qui est en plein essor au sein de la Fédération Française Sport Automobile. Pour la première fois de l’histoire du Championnat de France de Drift, nous étions à guichet fermé, ce qui prouve l’intérêt grandissant de la discipline. Félicitations à tous les pilotes qui ont pris des risques ce week-end pour nous offrir un très beau spectacle. Mentions spéciales pour Axel François, Nicolas Dufour et Benjamin Boulbes qui sont montés sur le podium. Rendez-vous dans un mois à Bordeaux-Mérignac pour les round #4 et #5 du Championnat de France de Drift ! »
Jérôme Vassia, promoteur du Championnat de France
“Cette épreuve était une grande réussite ! À tel point que nous avons été obligés de fermer les guichets dimanche à 11h, tous les billets étaient vendus. Les spectateurs ont été très nombreux en piste et nous sommes arrivés à la capacité maximale du lieu. La compétition s’est très bien déroulée, les pilotes nous ont offert un spectacle de folie. Les équipes de Calmont Sport Mécanique et du Championnat de France de Drift ont fait du super boulot. ”
Laurent Ferré – Président de l’ASA Calmont Sport Mécanique
TOP 3 – Round 3 – Touge Toulouse Calmont
1 – Axel François – Toyota GT86
2 – Nicolas Dufour – BMW E30
3 – Benjamin Boulbes – BMW E93
Classement Championnat (après le round 3)
1 – Benjamin Boulbes : 605 points
2 – Axel François – 586 points
3 – Kévin Jozou – 537 points
Communiqué Pôle Presse FFSA
Quatrième rendez-vous estival du Championnat de France Historique des Circuits 2020, l’Historic Tour de Nogaro a déployé ses plus beaux atouts devant les spectateurs du circuit Paul Armagnac. Dix nouvelles courses figuraient au programme de ce chaud dimanche de septembre.
2 : En millièmes de seconde, le plus petit écart du jour entre un vainqueur et son dauphin (Franck Julien et José Beltramelli en Asavé Racing 65/75).
10 : Le nombre de courses disputées ce dimanche.
10 : Dans le cadre du Championnat de France, le nombre de pilotes ayant remporté ce week-end les deux courses de leur plateau. Soit : José Beltramelli (TVR Griffith 400 en Asavé Racing 65), Franck Julien (Ford Escort RS en Asavé Racing 75), Julien Grenet (Dodge Viper en Saloon Cars), Laurent Sabatier (BMW M3 GTR en GT Classic), Augustin Sanjuan (Tatuus en Formule Ford Zetec), Frédéric Rouvier (March 783 en F3 Classic), Lionel Robert (Martini MK48 en Formule Renault Classic), François Belle (Lola T540 en Formula Ford Historic), Matthieu Châteaux (Debora en SportProtosCup) et Franck Quagliozzi (Honda Civic en Youngtimers GTI Cup).
60 : En remportant la course de F3 Classic d’aujourd’hui, Frédéric Rouvier inscrit son nom au prestigieux palmarès du Grand Prix de Nogaro (le 60ème du nom cette année). Y figurent, entre autres illustres champions, les noms de Schlesser, Pescarolo, Cevert, Beltoise, Larrousse, Tambay, Arnoux, Jaussaud, Streiff et autre Berger !
Le top 5 : 2.Rouvier (March 783), 2.V.Leone (March 783), 3.Martin (Martini MK39), 4.Beltramelli (March 813), 5.Lacour (Martini MK42).
En 2 mots : Fréderic Rouvier contre les Leone père et fils, c’est l’enjeu majeur de ce nouveau match de la F3 Classic. Parti de la pole, le Français s’installe immédiatement à sa place favorite, suivi comme son ombre par Davide Leone. Au cap de la mi-course, seulement 6/10 de secondes séparent les deux hommes, tandis que Valerio Leone est lui aussi toujours au contact à 1’’6. A quatre tours de l’arrivée, Davide Leone est contraint de regagner son stand, suite à un double souci de moteur et de freins, laissant son père seul aux prises avec Frédéric Rouvier. Un dernier face à face infructueux pour l’Italien, qui s’incline pour 5/10 de seconde. Eric Martin, au terme d’une solide course, les rejoint sur le podium, tandis que Brady Beltramelli et le revenant Bernard Lacour complètent le top 5.
Le top 5 : 1.Robert (Martini MK48), 2.Vaglio-Giors (Martini MK51), 3.Rigoulet (Martini MK41), 4.Majou (Martini MK44), 5.France (Martini MK44).
En 2 mots : Toujours aussi dominateur, le revenant Lionel Robert distance très vite Christian Vaglio-Giors, qu’il repousse à une dizaine de secondes au stade de la mi-course. Comme la veille, suivent Laurent Majou et le Gersois Matthieu Rigoulet. Le Manceau continue ensuite de creuser l’écart et signe ainsi le doublé devant son challenger suisse. En outre, il s’intercale entre les F3 à la quatrième place du scratch. Un moment en mesure d’inquiéter ce dernier, Laurent Majou, en proie à une surchauffe moteur, se contente finalement de la quatrième place, intercalé entre Matthieu Rigoulet et Arnaud France.
Le top 5 : 1.Genecand (Van Diemen RF92), 2.Michel (Van Diemen RF90), 3. « Nelson » (Van Diemen RF92), 4.Horion (Van Diemen RF92), 5.Lukes (Van Diemen RF81).
En 2 mots : Premier leader, Geoffroy Horion brigue une seconde victoire après celle du samedi. Mais d’autres ne l’entendent pas ainsi, à commencer par Gislain Genecand, que l’on retrouve au commandement à mi-course devant Xavier Michel et le pilote belge. Pénalisé par un Drive through, celui-ci doit se contenter d’une maigre quatrième place à l’arrivée, loin de Gislain Genecand et Xavier Michel, restés au coude à coude jusqu’à l’arrivée. Pour 9/10 de seconde, le Suisse sauve sa première place sur la ligne d’arrivée.
Le top 5 : 1.Sanjuan (Tatuus RC99), 2.Heudicourt (Mygale SJ02), 3.Dousse (Van Diemen RF02Z), Beloou (Van Diemen RF02Z).
En 2 mots : Vainqueur samedi, Augustin Sanjuan s’impose à nouveau en tête du peloton dès les premiers tours. Après une course neutralisation, le Suisse passe la mi-course avec Eric Heudicourt, Arnaud Dousse et Nicolas Beloou lancés à ses trousses. Par la suite, Arnaud Dousse lâche prise, ralenti par un souci de pot catalytique, tandis que Nicolas Beloou est contraint à l’abandon, moteur « out ». Dernier des challengers d’Augustin Sanjuan, Eric Heudicourt termine finalement la course à 4’’3 du pilote suisse.
Le top 5 : 1.Belle (Lola T540), 2.Genecand (Crosslé 25F), 3.Michel (Crosslé 32F), 4.Lukes (Van Diemen RF81), 5.Lunardi (Van Diemen RF77).
En 2 mots : Sixième à l’arrivée de la course de samedi, Eric Lukes crée la surprise en bouclant les trois premiers tours en tête. La course reprend sitôt après une tournure plus familière avec Gislain Genecand et François Belle aux deux premières places, tandis que Dino Lunardi doit effectuer un Drive through pour avoir anticipé le départ. A l’approche de la mi-course, une sortie de piste implique une neutralisation temporaire de la course. La course relancée par un dernier sprint de cinq tours, François Belle et Gislain Genecand se retrouvent seuls à se disputer la victoire, quelques encablures devant Xavier Michel et Eric Lukes. Comme la veille, le Drômois a le dernier mot et s’impose pour 6/10. A une dizaine de secondes, Xavier Michel s’invite lui aussi sur le podium, tandis que la victoire de la classe A revient à Stéphane Brunetti.
Le top 5 : 1.Châteaux (Debora SP91 BMW), 2.Gagnard (Norma M14 BMW), 3.De Murard (Merlin MP46 Alfa), 4.Dougnac (Epsilon Alfa), 5.Destombes (Peugeot 905).
En 2 mots : Malgré la résistance offerte par Guillaume Gagnard et sa très belle Norma M14, Matthieu Châteaux prend très vite la course à son compte. Dans le trio de tête, Dominique Vulliez ne dépasse malheureusement pas le troisième tour. Sans le moindre suspense, Matthieu Châteaux creuse l’écart au fil des tours et rejoint l’arrivée avec plus d’une demi-minute d’avance sur Guillaume Gagnard. Bon troisième, Josserand De Murard termine devant Alexandre Dougnac, le fils de Francis vu la veille au volant de l’Epsilon familiale. Carlos Tavarès hisse sa Chevron au sixième rang.
Le top 5 : Course 1 : 1.Majou (Cooper S), 2.Falière (Rallye 2), 3.Barrere (Cooper S), 4.Quirière (Cooper S), 5.Princen (Rallye 2). Course 2 : 1.Gandini (Jem GT), 2.Falière, 3.Destombes (Simca CG), 4.Quirière, 5.Harang (Cooper S).
En 2 mots : Journée chargée pour les pilotes du Maxi 1300 Series avec une première course en début de journée, puis une seconde programmée en fin d’après-midi. Crédité de la pole avec sa Jem GT, Philippe Gandini perd gros au départ de celle du matin, en l’anticipant un peu trop au goût de la Direction de course. Sanctionné par un Drive through, il laisse Laurent Majou prendre ses aises au commandement. A mi-course, le pilote de la Mini Cooper compte 6’’7 d’avance sur le Belge Jérémy Princen (Rallye 2), et une dizaine de secondes de marge sur Alexandre Falière (Rallye 2), bientôt rattrapé par un certain Gandini, en pleine remontée. A quatre tours de l’arrivée, l’intrusion du Safety Car offre à celui-ci l’occasion de gommer son retard. Désormais groupés, les hommes de tête repartent pour deux derniers tours particulièrement animés, mais Laurent Majou tient bon et conserve 3’’8 d’avance sur Philippe Gandini à l’arrivée, avant que ce dernier ne soit doublement pénalisé, notamment pour une vitesse excessive lors de son Drive through.
Dans la course de l’après-midi, Philippe Gandini est immédiatement débarrassé de Laurent Majou (défaut de pression d’huile). Après avoir laissé Alexandre Falière mener les deux premiers tours, le pilote de la Jem GT prend l’avantage et file vers la victoire. Derrière Falière et Jean-Pierre Destombes, Philippe Quirière remporte la classe 3 pour la seconde fois de la journée.
Le top 5 : 1.J.Beltramelli (TVR Griffith), 2.Chambon (Shelby Cobra), 3.Ancelin/Robert (Lotus Elan), 4.Deleplanque (Lotus Elan), 5.Dauxerre (Porsche 911 3.0 SC).
En 2 mots : Insatiable chasseur de victoires, José Beltramelli fait parler le V8 de sa TVR Griffith 400 dès le départ et atteint le cap des 15 mn, synonyme d’ouverture de la fenêtre des arrêts aux stands, avec plus de 23’’ d’avance sur la magnifique Shelby Cobra de Nicolas Chambon. A l’instar du samedi, Le Troyen boucle finalement ses 45’ de course en vainqueur avec 54’’ d’avance sur la Shelby Cobra, malgré un tête-à-queue, mais abandonne la victoire au scratch pour… un millième de seconde ! A l’image de la course 1, Lionel Robert effectue un relai express pour hisser au troisième rang la Lotus Elan qu’il partage avec Philippe Ancelin.
Le top 5 : 1.Julien (Ford Escort RS), 2.Besson/Besson (Alpine A110), 3.Dauxerre (Porsche 911 3.0 SC), 4.L’Eplatennier (Porsche 911 3.0 SC).
En 2 mots : Comme la veille, Franck Julien se porte immédiatement en tête de cette course de 45 mn avec arrêt obligatoire (2’30’’ minimum). Au bout de 15 mn, le pilote de l’Escort RS à moteur Ford BDG possède déjà une confortable avance sur l’Alpine A310 de Gérard Besson et la Porsche 911 3l SC de Fabien L’Eplatennier. Sans soucis la Ford de WG British Racing poursuit sa démonstration après les arrêts aux stands et s’impose ainsi pour la seconde fois. Passée aux mains de Jean-François Besson (par ailleurs privé de ses courses de Maxi 1300 Series à cause d’un embrayage défaillant sur son autre monture), l’Alpine A310 termine à 1’34’’ au terme des 45 minutes de course. Vainqueur de son plateau, Franck Julien remporte également cette course au scratch après avoir rattrapé José Beltramelli sur la ligne d’arrivée.
Le top 5 : 1.Jacquet, 1.Delhaye, 3.Vulliez, 4.Garcia Imaz 5.Deleplanque (tous sur Lotus Seven).
En 2 mots : Emaillée de plusieurs accrochages, la seconde rencontre du Trophée Lotus démarre de manière tumultueuse et impose immédiatement l’entrée en piste de la voiture de sécurité. La course relancée, Xavier Jacquet est pointé en tête avec Emmanuel Garcia Imaz et Dominique Vulliez blottis dans ses roues. Un nouveau Safety Car permet ensuite au peloton de chasse de faire la jonction avec ces trois échappés. La course relancée pour cinq tours, Xavier Jacquet se donne un peu d’air en tête, quelques secondes devant Emmanuel Garcia Imaz, Anthony Delhaye, bien revenu après un départ raté, et Dominque Vulliez. Vainqueur de la course du samedi, Anthony Delhaye se hisse par la suite à la deuxième place et termine en trombe en échouant à seulement 7/10 du vainqueur Xavier Jacquet.
Le top 5 : 1.Morihain (Porsche 996), 2.Sabatier (BMW M3 GTR), 3.Daumas (Porsche 968), 4.Mathieu (Porsche 964), 5.Rosembly (BMW Z3M).
En 2 mots : Evoluant en invité, hors championnat, Olivier Morihain hisse sa Porsche 996 Cup au commandement dès le coup d’envoi de cette seconde course de GT Classic, partagée avec le plateau du Saloon Cars. A mi-course, Laurent Sabatier est sagement installé à la deuxième place (à une demi-minute du patron de Kennol) avec la BMW M3 GTR que lui prête ce week-end Sébastien Mathieu, tandis que Gilbert Daumas complète le tiercé de tête. Celui-ci deviendra définitif neuf tours plus tours, Sébastien Mathieu, contraint d’opérer un arrêt à son stand, et Geoffroy Rosembly venant compléter le top 5 du jour.
Le top 5 : 1.Grenet (Dodge Viper), 2.Delannoy (Porsche 996), 3.Derognat (BMW 323i), 4.Lortal (Caterham), 5.Desmaele (Porsche 996).
En 2 mots : Impérial en course 1, Julien Grenet repart au combat avec la même soif de victoire. Alain Derognat tente vainement de le suivre, perd un temps précieux sur un tête-à-queue, puis se fait déloger de la deuxième place par Patrick Delannoy. A mi-course, ces deux poursuivants sont respectivement à 11 et 15’’ de la Viper de tête. Derrière un Julien Grenet intouchable jusqu’au bout, Patrick Delannoy et Alain Derognat terminent dans cet ordre, séparés par à peine plus de trois secondes, tandis que Thierry Lortal, quatrième, progresse d’une place par rapport à la veille.
Le top 5 : 1.Fl.Cabarrou, 2.Bellinato, 3.Dubelly, 4.Fr.Cabarrou, 5.Nougaret (tous sur Mazda MX-5).
En 2 mots : Les deux actuels hommes forts de la Roadster Pro Cup, Ludovic Bellinato et Florian Cabarrou, reprennent immédiatement leur duel de la veille. Absolument inséparables, les deux compères jouent des coudes et tentent de profiter au maximum du phénomène d’aspiration. Le spectacle est permanent et l’issue de leur lutte parfaitement indécise. Il faut bien évidemment attendre le dernier tour pour voir Florian Cabarrou obtenir le dernier mot à l’issue de ce qui restera surement le plus bel affrontement du week-end ! A huit secondes, Elie Dubelly s’offre un second podium après avoir pris l’ascendant sur Cabarrou père.
Le top 5 : 1.F.Quagliozzi (Honda Civic), 3.Vivas (Citroën AX Coupe), 3.Mathez (Peugeot 309), 4.M.Quagliozzi (Honda Civic), 5.Hawes (Golf GTI).
En 2 mots : Comme un remake de la veille, Franck Quagliozzi prend immédiatement ses aises en tête de la course, tandis que Samuel Vivas reste très vite le seul à tenir sa cadence. Mais à l’impossible nul n’est tenu. Le pilote de l’AX finit par lâcher prise et à rejoindre l’arrivée à la deuxième place avec sur solide avance sur le Suisse Guillaume Mathez. Michel Quagliozzi, le père du vainqueur, complète le quatuor gagnant.
L’Historic Tour du Val de Vienne (manche # 5/5), du 25 au 27 septembre.
Résultats sur www.historictour.fr. L’info continue sur Facebook (@HistoricTourFFSA) et Twitter (@Historic_Tour) et Instagram.
Communiqué Pôle Presse FFSA / Photo G. Pawlak
De retour sur le circuit de Nogaro pour la quatrième de ses cinq étapes, le Championnat de France Historique des Circuits (l’Historic Tour) a vécu une première journée de courses riche en émotions. Dimanche s’annonce encore plus animé avec dix autres courses au menu.
8 : Le nombre de courses disputées ce samedi. 10 autres suivront dimanche.
176 : En millièmes de seconde, le plus petit écart du jour entre un vainqueur et son dauphin (Anthony Delhaye et Xavier Jacquet en Trophée Lotus).
250 : le nombre de pilotes en course ce week-end.
2017 : L’année de la précédente venue de l’Historic Tour à Nogaro.
3636 : En mètres, le développement exact du circuit de Nogaro.
« Notre marque Kennol (*) est partenaire de l’Historic Tour depuis 2019. C’est un championnat qui ne cesse de monter en puissance avec de beaux plateaux et une excellente organisation. Nous le soutenons en marge d’autres implications, y compris au plus haut niveau comme en F2 ou en LMP1. L’idée nous est également venue d’engager une auto à nos couleurs. Il s’agit d’une Porsche 996 que j’étrenne ce week-end sur le plateau du GT Classic. A titre personnel, il s’agit d’une reprise, près d’une dizaine d’années après mes dernières courses en Coupe de France des circuits » (Olivier MORIHAIN, Président de Kennol et concurrent de l’Historic Tour de Nogaro).
(*) Rappel : Dans le cadre des « Kennol Awards », un pilote particulièrement méritant est récompensé à l’issue de chaque course.
Le top 5 : 2.Rouvier (March 783), 2.D.Leone (Alba), 3.V.Leone (March 783), 4.Martin (Martini MK39), 5.Beltramelli (March 813).
En 2 mots : Auteur du meilleur chrono lors des premières « qualifs » du vendredi, Frédéric Rouvier boucle le premier tour en tête devant Davide Leone et Eric Martin, rapidement dépassé par Valerio Leone. Toujours leader au stade de la mi-course, le pilote de Cannes ne compte alors qu’une seconde d’avance sur le fils Leone, alors que son père Valerio reste en embuscade à trois secondes. Les espoirs de la famille italienne s’estompent ensuite peu à peu et, en dépit d’une belle résistance, Davide Leone doit finalement s’incliner de 1,9’’ face à l’indomptable Rouvier. Eric Martin et Brady Beltramelli, dans un bon rythme l’un et l’autre, complètent le top 5.
Le top 5 : 1.Robert (Martini MK48), 2.Vaglio-Giors (Martini MK51), 3.Majou (Martini MK44), 4.Rigoulet (Martini MK41), 5.France (Martini MK44).
En 2 mots : De retour sur le plateau de la Formule Renault Classic, Lionel Robert se rappelle au bon souvenir de tous dès les essais « qualifs ». Crédité du temps de référence, le Manceau confirme sa suprématie en course en distançant peu à peu Christian Vaglio-Giors, qui demeurait invaincu depuis le début du championnat. Nanti de 17’’ d’avance sur la ligne d’arrivée, Lionel Robert impose sans contestation sa Martini MK48 « ex Claude Dégremont », tandis que Laurent Majou vient compléter le podium. Malgré un tête-à-queue, le local Matthieu Rigoulet empoche la quatrième place devant Arnaud France.
Le top 5 : 1.Horion (Van Diemen RF92), 2.Genecand (Van Diemen RF92), 3.Michel (Van Diemen RF90), 4.Lukes (Van Diemen RF81), 5.Kozyreff (Reynard 88F).
En 2 mots : Auteur du meilleur chrono des Formule Ford Kent aux essais, Geoffroy Horion laisse filer les versions Zetec, avantagées sur ce tracé, dès le début de course mais tient en respect toutes les autres Formule Ford à moteur Kent. Solide leader durant les douze tours, le Belge parvient finalement à garder l’avantage sur son rival suisse, battu de seulement 723/1000 de seconde. Détenteur de la troisième place de bout en bout, Xavier Michel complète le podium.
Le top 5 : 1.Sanjuan (Tatuus RC99), 2.Beloou (Van Diemen RF02Z), 3.Heudicourt (Mygale SJ02), 4.Dousse (Van Diemen RF02Z), 5.Rausch (Mygale SJ03).
En 2 mots : Parti de la première ligne, Augustin Sanjuan effectue un formidable départ et se ménage immédiatement une précieuse avance sur le poleman Arnaud Dousse et sur son équipier Nicolas Beloou, de retour sur le trophée. A mi-course, ces derniers sont à la lutte, mais déjà à près d’une dizaine de secondes de l’irrésistible pilote suisse. Celui-ci maintient son avance jusqu’à une fin de course animée par l’enjeu pour la deuxième place, que convoitent Arnaud Dousse, Maxime Lebreton, auteur d’une superbe remontée, et Nicolas Beloou. Celui-ci s’en sort finalement le mieux après l’accrochage de ses deux adversaires dans le dernier tour.
Le top 5 : 1.Châteaux (Debora SP91 BMW), 2.Gagnard (Norma M14 BMW), 3.Vulliez (Bogani 91 Alfa), 4.Dougnac (Epsilon Alfa), 5.De Murard (Merlin MP46 Alfa).
En 2 mots : Incontestable maître du jeu dès les essais, Matthieu Châteaux prend rapidement le large au volant de sa Debora, suivi d’un autre proto mu par un même BMW M12/7 ; la Norma M14 de Guillaume Guignard (que son concepteur Norbert Santos est venu retrouver à Nogaro). Avec une quinzaine de secondes d’avance dès la mi-course, tout suspense est vite oublié. S’ensuit une courte neutralisation, puis une relance pour trois derniers tours et une ultime chevauchée victorieuse de Matthieu Châteaux. Derrière Guillaume Gagnard et Dominique Vulliez, un peu plus tôt en action en Trophée Lotus, Francis Dougnac conclut sa course de rentrée à la quatrième place.
Le top 5 : 1.Belle (Lola T540), 2.Genecand (Crosslé 25F), 3.Lunardi (Van Diemen RF77), 4.Michel (Crosslé 32F), 5. « Nelson » (Van Diemen RF80).
En 2 mots : L’ultime course du samedi démarre très mal avec la sévère sortie de piste (heureusement sans gravité) de Didier Mantz dès le premier virage. Un nouveau départ est donné, qui voit le « poleman » Gislain Genecand loupé son envol au bénéfice de son compatriote Christian Vaglio-Giors. Très vite, c’est au tour de François Belle de prendre les opérations en mains et de se détacher de notre Suisse, bientôt dépassé par un certain… Dino Lunardi. Invité à se replonger dans la discipline de ses débuts, le pilote de LMP3, ex champion d’Allemagne en GT, n’est pas là pour faire de la figuration ! La mi-course pas encore atteinte, Vaglio-Giors est déjà « out » et le Safety Car de sortie.
Le match relancé, François Belle tient bon en tête et finit par prendre quelques longueurs d’avance sur Dino Lunardi, finalement rattrapé et dépassé par Gislain Genecand dans le dernier tour. Xavier Michel et « Nelson » complètent le top 5, tandis que la victoire de la classe A revient à Eric Lecluse devant une débutante en monoplace : Charlotte Berton. Pour une première expérience, la quadruple championne de France des rallyes termine à une prometteuse dixième place.
Le top 5 : 1.Morihain (Porsche 996), 2.Sabatier (BMW M3 GTR), 3.Mathieu (BMW M3 GTR), 4.Rosembly (BMW Z3M), 5.Bastia (Porsche 964).
En 2 mots : Trahi par le double turbo de sa Porsche 993 GT2 dès les essais libres, Laurent Sabatier trouve heureusement une solution de secours : sportif, son camarade du GBF Racing Sébastien Mathieu lui laisse le volant de sa propre BMW M3 GTR ! Le Vauclusien signe à son bord le meilleur temps en « qualifs », puis entame la course en tête avant d’être rattrapé par un certain… Sébastien Mathieu, finalement parti bon dernier avec son ancienne Porsche 964. Dès lors, ce dernier s’échappe, tandis qu’Olivier Morihain vient ravir la deuxième place à Laurent Sabatier à mi-course. La cause semble entendue pour Sébastien Mathieu, mais sa cadence baisse soudainement en fin de course, ce qui profite à la Porsche 996 d’Olivier Morihain, premier à passer sous le drapeau à damier. Deuxième, Laurent Sabatier sauve l’essentiel : le vainqueur évoluant en invité « hors championnat », il engrange les points de la victoire.
Le top 5 : 1.Grenet (Dodge Viper), 2.Derognat (BMW 323i), 3.Delannoy (Porsche 996), 4.Desmaele (Porsche 996), 5.Lortal (Caterham).
En 2 mots : Partis de la première ligne, le poleman Julien Grenet (Dodge Viper) et son dauphin Alain Derognat (BMW 323i) pointent à nouveau dans cet ordre dès le début de course. En grande forme, le pilote de la Viper se détache ensuite et porte son avance à une dizaine de secondes au cap de la mi-course. L’écart continue de croître par la suite et les deux hommes rejoignent l’arrivée sans plus de soucis. Troisième à près d’une cinquantaine de seconde, Patrick Delannoy précède Michael Desmaele, tous deux à bord de Porsche 996. Le top 5 est complété par un Thierry Lortal toujours aussi véloce au volant de sa Caterham.
Le top 5 : 1.Delhaye 2.X.Jacquet, 3.Koenig, 4.Garcia Imaz 5.Vulliez (tous sur Lotus Seven).
En 2 mots : Auteur d’une superbe pole avec une demi-seconde d’avance sur son plus proche poursuivant, Anthony Delhaye prend immédiatement la course à son compte. Dans son sillage, Florent Cazalot tient son rythme avant de devoir abandonner au bout de cinq tours (fil de bougie débranchée). A mi-course, Xavier Jacquet est à son tour dans le rôle du « chasseur », à quelques 3’’7 de Delhaye, juste avant qu’une sortie de piste ne provoque un regroupement derrière le Safety Car. La course relancée pour trois derniers tours, Anthony Delhaye et Xavier Jacquet se retrouvent au coude à coude pour se disputer la victoire. Le Francilien conserve finalement 176/1000 d’avance sur Xavier Jacquet au terme de ce superbe épilogue. Bon troisième, Philippe Koenig résiste jusqu’au bout à Emmanuel Garcia Imaz et Dominique Vulliez, le double vainqueur de Charade.
Le top 5 : 1.Bellinato, 2.Fl.Cabarrou, 3.Dubelly, 4.Fr.Cabarrou, 5.Nougaret (tous sur Mazda MX-5).
En 2 mots : Superbe plateau pour cette manche de Nogaro avec pas moins de 27 Mazda MX-5 prêtes à en découdre sur la piste gersoise. Comme sur les courses précédentes Florian Cabarrou et Ludovic Bellinato s’affirment dès les « qualifs » comme étant les plus sérieux candidats à la victoire. Les deux hommes bouclent le premier tour dans cet ordre, puis une neutralisation sous Safety Car les prive de quelques tours d’empoignade. Celle-ci reprend bien évidemment dès la relance, nos duettistes inversant rapidement leurs positions. Avec 2’’2 de marge, Ludovic Bellinato sort finalement vainqueur de ce duel, alors qu’Elie Dubelly prend une belle troisième place à une dizaine de secondes. Julien Nougaret remporte la Coupe Adour Océan réservée aux pilotes régionaux.
Le top 5 : 1.Quagliozzi (Honda Civic), 3.Vivas (Citroën AX Coupe), 3.Mathez (Peugeot 309), 4.Hawes (Golf GTI), 5.Paupette (Citroën AX Coupe).
En 2 mots : Sans grande surprise, Franck Quagliozzi domine les débats dès le début de course, tandis que Samuel Vivas tente de lui emboiter le pas avec son ancienne Citroën AX de la « Coupe ». A mi-course, 2’’5 les séparent. L’écart augmente sensiblement par la suite et le Mâconnais à la Honda Civic file vers une énième victoire. Bon troisième dès le départ à bord de sa Peugeot 309 GTI groupe A, le Suisse Guillaume Mathez se maintient à ce rang jusqu’à l’arrivée. Michel Quagliozzi et Jacques Boutolleau pénalisés, la quatrième place revient à l’Irlandais Cameron Hawes et sa Golf GTI.
Le top 5 : 1.J.Beltramelli (TVR Griffith), 2.Cambon (Shelby Cobra), 3.Ancelin/Robert (Lotus Elan), 4.Deleplanque (Lotus Elan), 5.Dayraut (Porsche 911 2.0).
En 2 mots : En manque de concurrence directe au volant de sa TVR Griffith 400, José Beltramelli prend une trentaine de secondes d’avance dès le premier quart d’heure de cette endurance de 45 mn. Derrière lui, une bataille s’engage pour la deuxième place entre deux autres superbes autos couvées par le team ATS : la Jaguar type E d’Arnold Robin et la Shelby Cobra de Nicolas Chambon. Après la séquence des arrêts aux stands, derrière un José Beltramelli intouchable, Lionel Robert se charge d’animer la fin de course au volant de la Lotus Elan de Philippe Ancelin. Troisième sous le drapeau à damier, il échoue à seulement 13’’ de la Shelby Cobra de Nicolas Cambon. Vainqueur en « 65 », José Beltramelli remporte également la course au scratch, moins de trois secondes devant le vainqueur du plateau « 75 », Franck Julien.
Le top 5 : 1.Julien (Ford Escort RS), 2.Besson/Besson (Alpine A110), 3.Dauxerre (Porsche 911 3.0 SC), 4.L’Eplatennier (Porsche 911 3.0 SC).
En 2 mots : L’absence de quelques habitués du plateau est en partie compensée par la venue de la Ford Escort de WG British Racing (aux mains de Franck Julien), désormais équipée d’un redoutable Ford BDG de 300 ch, et du retour de l’Alpine A310 V6 de Gérard Besson, vue sur le Tour Auto quelques jours plus tôt. Au bout de 15 mn, alors qu’intervient l’ouverture des stands pour les arrêts obligatoires de cette course de 45 mn, les deux hommes occupent les deux premières places. C’est toujours le cas à l’attaque du dernier quart d’heure. Jean-François Besson, désormais à bord de l’Alpine paternelle, réduit légèrement l’écart mais bien insuffisamment pour imposer une quelconque menace sur la Ford Escort victorieuse.
Le top 5 : 1.Gandini (Jem GT), 2.Majou (Cooper S), 3.Besson (Alpine A110), 4.Princen/Chapel (Rallye 2), 5.Destombes (Simca CG).
En 2 mots : Les deux courses du Maxi 1300 Series se déroulent exceptionnellement ce week-end sur la seule journée du dimanche. De fait, l’apparition en piste de ses animateurs s’effectuait aujourd’hui dans le cadre des essais qualificatifs. Philippe Gandini (Jem GT), Laurent Majou (Cooper S) et Jean-François Besson (Alpine A110) les achèvent dans cet ordre, groupés en guère plus d’une seconde. La promesse d’une double course dominicale particulièrement indécise ! Adrien Harang (Cooper S) et Claude Corthals (A112 Abarth) décrochent le meilleur chrono de leurs catégories respectives.
Dimanche, 10 autres courses de 9h00 à 12h30 et de 13h45 à 16h50.
Courses en live et résultats sur www.historictour.fr. L’info continue sur Facebook (@HistoricTourFFSA) et Twitter (@Historic_Tour) et Instagram.
Communiqué Pôle Presse FFSA / Photo HVM G Pawlak